L’organisation du Salon international de l’agriculture (SIA), qui aura lieu cette année du 26 février au 6 mars, constitue un temps fort pour la Direction de la communication et des relations avec les citoyens. Lucie Mollard, chargée de communication événementiel et relations publiques, détaille ce dossier dont elle a la charge.
Lucie, comment s’organise le travail en amont du SIA ?
Dans l’idéal, nous commençons le travail 8 mois avant le salon de l’année suivante. Si on veut travailler sereinement, on doit s’y mettre dès le mois de mai qui précède. Là, avec la Covid, nous sommes partis beaucoup plus tard. Nous avons fini d’analyser le marché des deux stands, celui du hall 1 (bovins et ovins) et celui du hall 3 (Régions de France), seulement fin octobre.
Comment s’organise ce marché ?
Nous recensons les besoins, nous montons un cahier des charges en collaboration avec la Direction Achats. Nous le déposons sur la plateforme et les prestataires intéressés répondent. Nous effectuons l’analyse des dossiers qui sont ensuite passés en commission d’appels d’offre (CAO). Ce marché comprend des conditions de repose sur trois ans. Cette année, c’est l’agence AXO agencement, basée à Dijon, qui l’a emporté.
La suite ?
L’agence travaille et fait ses propositions en matière d’agencement et de décoration des stands. Avec une problématique : Comexposium, organisateur du salon, ne communique l’implantation de stands au sein des halls que fin novembre. En fonction de cette implantation, l’agence peut être amenée à revoir sa copie et retravailler les vues tout en gardant l’esprit. Un exemple : cette année, nous sommes adossés au mur et l’agence avait dessiné un stand 360° ! Autre particularité : en raison de l’annulation de l’édition 2021, on a dû retravailler les deux stands, alors qu’en temps normal, on alterne.
Y -t-il d’autres marchés ?
Oui, nous avons géré le marché d’animation et de gestion du hall 3 sur les crédits de la direction de l’agriculture et de la forêt, celui qui a été attribué au Comité gastronomie et promotion des produits gourmands de Bourgogne-Franche-Comté (GPPR). Tout est calé depuis peu, c’est en prod. Nous avons également travaillé sur les objets publicitaires et sur les permanences des agents. En ce qui concerne les animations organisées tout au long du salon, on a lancé une consultation et cinq prestataires se sont manifestés. Le résultat est connu. Là encore, la situation sanitaire nous a fait perdre du temps. Au final, le salon aura une configuration normale, sans jauge mais avec référents Covid et passe vaccinal obligatoire évidemment. Une contrainte tout de même : 1m2 par personne pour tout événement, inauguration ou cocktail sur un stand.
Je veux préciser que c’est un travail d’équipe qui mobilise les trois services de la Dircom.
En résumé, tout se présente bien…
Oui, mais cela représente beaucoup de stress et de travail !
Trois jours après, une assemblée dédiée à Nathalie Leblanc
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